mardi 16 septembre 2014

"Le français parlé e(t) le français éscrit sont deux langues dif:férents" (Queneau-Quenó) s é ^



Plusieurs conséquens, pour ces construczions mentals : la creazion d´une bulle de pureté ideal ; la présence obsesionel et coulpabilité d´un seul modèl negateur de
 l´infinie variété des paroles-en-la-langue; l´emploi de signes incertains dans des significtions incompatibles : les mots-emblèmes, les fourriers de la confusion, ces "perroquets" que dénonçait Paul Valéry : liberté, bonheur, droit, justice...Parmi ces perroquets multicoleurs et criards, langue en français, language en anglais, sprache en allemand, etc

Cependent, l´evoluzion et la variazion dans cet:te incertitud qu´est la "langue", étant fortement res:senties, des interprétazions moins simples viennent perturber
 l´image sainte. Le français, ce tout lisse et pur, se clive :     dès de qu´on introduit le temps de l´Histoire, on distingue l´"ancien français" de le "moyen", puis de le "moderne". Quand on admet qu´une langue existe dans une societé, on op:pose le français "populair". On va dire  que le français de V. Hugo n´est pas celui de Rimbaud-Rimbó et, bien sure, on ne parle plus "langue", mais discours poetique plus style.

Mais, avec mille "langues françaises" on n´est pas plus avancé qu´avec le français alégorisé dans son "genie". Pour rendre compte des incompatibles et rendre historique l´op:posizion entre les habitudes de l´éscrit socialment sanction:nées et cel:les de l´oral, Raymond Queneau a inventé le "néo-français", celui qui est parlé, spontané, évolutif et que l´ortografe de l´autre français, celui de l´escole et de la lit:terature, déstruit en le transcrivant. Cet:te in:novazion ne concernait pas, disait il, la posizion personel sur la langue "ce qu´on a envie de faire, ce qui est le français...pour soi", mais bien " ce qu´enseigne somme toute la lingustique sur le français"

Sur ce plan "objetif" disait encore R. Quenó, "il ne fault pas croire que le français parlé et le français éscrit sont deux variants; ce sont deux langues dif:férents, presque aus:si que le français et le latin".

Plus loin : "Ce qui est éscrit n´est jamais une notazion phonografique de le langage parlé; c´est pour cela qu´au lieu de -français parlé- j´aimerais mieulx dire -nèo français-". Une séquence historique latin/ français/ néo-français, ainsi proposé, et malgré la caution de lingusites qui n´en disaient pas tant -Vendreys, Martinet- était pourtant aussi fictive que l´ilusion d´une unité absolue de le "français".

L´idée d´un seul latin est d´ailleurs plus trompeuse encore que celle d´un seul français. À lire les textes de Queneau sur le langage, on s´aperçoit que le seul problème, très réel, qu´il souléve est celui des diferens - peut etre universals, en tout cas pas spécifiquement françaises- entre produczion oral spontanée et produczion éscrite contrôle ( il en existe d´autres . Et celui de l´inaptitud ortografique, en français actuel, à transcrire l´oral. Deux questions distinctes , que
 l´aparizion d´une néolangue ne resoult pas...

Sans créer d´entités nouvelles, la posizion majoritaire consiste à nier la pluralité, la diversité qu´on observe, en la transformant en jugements, presque sempre, négatifs, sur les produczions individuals de la langue, les discours, ou sur des tipes d´usage mal famés. Ou encore en produisant une interprétazion métaforique sur
 l´unité indivisible de la langue, ainsi jugée en péril de maladie et de morte -images biologiques, encore- ou bien plus generalment "en crise", comme une économie ou une politique :



...et les règles d'orthographe parfois obscures laissent souvent perplexes.

He hecho apropósito el uso de la : en plan catalá, para ver la idiotez exagerda de poner dos consonante seguidas, cuando en en la oralidad vertiginosa es residual...

No tanto la sustitución natural de una -t- que se pronuncia s/ss/ç...como guste al parlador...


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Secundario, la mayoría de extranjeros hablantes del francés, no escriben, o escriben más bien poco (de hecho la inmigración menos culta, con la oralidad se han bastado bien)...
Pero ¿ qué idioma latino es más difícil de aprender ? la 10ª posición es justa plus injusta a la vez...pues el Espagnol sostiene la mismas caracteristicas gramaticales que le français sino más, en sus conjugaciones verbales* (1ª,2ª,3ª personas presente de todos los verbos) cuestion que hacen mención para el alemán...influencia del Latin...declinaciones, verbales...complejidad estructural...memorizar todo.*

Sustituyo, quito el Francés ( en nombre de todas las lenguas latinas ) e meto el Húngaro, el Sánscrito, Ruso o el Vasco. 10, 11, 12, etc ( la lista se delata, si casi mete todas los idiomas escandinavos, orientales, a falta de sueco, indonesio...igual de jodido-dificil...) De paso, barro para casa, como el celta-gaélico irlandés-escocés, nada...¿ Todas los idiomas africanos son fáciles ?

¿ Quien gana ? ¿ Gana el Inglés ? La lista de la ONU/UNESCO parece tener o querer tener segundas lecturas...no nos engañemos, el inglés requiere un esfuerzo...también...siendo como el francés, una doble lengua hablada-escrita...Me niego a que el inglés sea la lengua mundial-internacional...el bloque latino, tiene que responder con fuerza...sinergias. Inglés, ni agua.

Si el inglés es gérmanico, estructurado del francés...no me creo que sea un idioma fácil...sobre todo para los latino parlantes (-la gran familia-).
Otra cosa es la LOBOTOMIZACION totalitaria = Presión Psicológica sibilina...plus mundo de los negocios...Bombardeo masivo cultural (la música = la radio) década tras década... ! así cualquiera !...os garantizo que con cualquier idioma latino, la cosa también iría fácil...

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